Parfois, il y a de grosses différences entre l’itinéraire proposé par les cartes google et mon petit navigateur (application sur mon téléphone). De Rofrano à Casalbuono, il y avait une dizaine de kilomètres de différence… Deux ou trois, ça va, mais dix… non merci.
Mon navigateur n’affichait pas les chemins dans la forêt alors que google, indiquait parfaitement le sentier duquel je rêvais déjà en préparant l’étape.
Durant la journée, je ne peux pas voir les cartes google sur mon téléphone ( données à l’étranger désactivé… – je ne veux pas du roaming de Swisscom…).
J’ai eu une idée géniale!
J’ai fait des captures d’écran (photo de mon écran) de l’itinéraire selon google et les ai transférées sur mon téléphone.
Super non?
Au début, ça a vraiment bien fonctionné mais dans la forêt, j’ai immédiatement moins fait le malin. Ne pouvant pas voir où je me situais, je me suis bien concentré pour suivre pas à pas, c’est le cas de le dire, mon parcours. Cela semblait facile au début…
Et puis, il y a eu un virage, ou pas, un croisement de plusieurs chemins, ou pas… enfin une certaine mésentente entre la réalité et le parcours affiché sur ma belle capture d’écran… Je me suis perdu.
J’ai tenté de retrouver mon chemin en suivant trois différents sentiers et j’ai rebroussé chemin à chaque fois. Je me suis retrouvé « nez à nez » avec un sanglier et là, j’ai franchement accéléré. J’ai foncé pour retrouver un chemin indiqué sur mon navigateur sans demander mon reste.
J’ai finalement retrouvé ma route et j’ai compris qu’il me restait encore quinze kilomètres pour arriver à destination.
Bilan: au lieu de dix, j’ai fait entre 15 et 18 kilomètres en plus…
Mais quel sanglier!
« nez à groin » ?
😉 exactement!
Magnifiques photos…. ça fait du bien de voir un ciel aussi bleu…..
Bonne continuation
Bacioni
C’est pas toujours comme ça… malheureusement. Aujourd’hui 30 mai, il a plu des cordes ce matin…
Hello Sandro, nous te suivons depuis le début , au rez du castel d’occident! En silence, comme des espions, c’est chouette!
Chapeau bas pour ce périple mené de pied de maestro. Tes photos sont superbes, les textes aussi. C’est un plaisir de te suivre…depuis notre canapé! Le gars quasi aveugle qui trafique des ampoules au milieu de nulle part, c’est du Sophie Calle mélangé à Fellini…
Me réjouis de voir comment tu vas secouer ce sac de perles au retour.
Que la fin du parcours soit en pente douce…Baci. Anne
Ciao!
Merci pour le message et…
Evviva il castel d’occident!
à très bientôt!