Je n’ai pas eu envie de faire de photos.
Je n’ai voulu parler à personne.
La journée grise n’a pas aidé. J’avais beaucoup de kilomètres à faire.
Je suis resté dedans. J’ai posé mes yeux sur l’asphalte et j’ai avancé.
Un peu triste, mélancolique, j’ai propulsé mes pensées vers « après l’arrivée », « avant le départ », ce qu’il restera à faire et comment je voudrais procéder. Elucubrations plus ou moins réalistes et réalisables.
Fuir le maintenant, le ici. Moment qu’on aime pas. J’ai suivi les indications de mon navigateur sans regarder autour de moi et j’ai marché.
Un peu par hasard, un peu par besoin, j’ai relevé la tête.
Tout est à l’envers, tout est dehors alors que je suis dedans. Tout est dedans et je suis dehors. Je repense à Antonio Tabucchi et son Notturno Indiano.
Je n’ai pas eu envie de faire de photos. La seule image prise aujourd’hui s’est imposée d’elle-même comme une métaphore réelle de comment je me sens aujourd’hui.
Courage Sandro, tout ira bien,
Giovanni
forza sandro!!!!!
Col sole va tutto meglio!
Du soleil de Renens pour te mener plus au sud. Amitiés, Nicolas
Merci!
Jeudi était apparemment un jour « sans ». Boh…
Alors je vous souhaite pour demain un dimanche tout en couleurs.
Buon cammino!
Katherine
Merci!
Fa parte dell’avventura fratellino……
Tanti cari abbracci coraggiosi
quel plaisir de te suivre on t’embrasse
gazus capucine et juliette
J’espère que vous allez bien les amis!
merci de suivre le voyage, ça motive!